12.7.12

Freud et le SIF baronnesque...



Il est de ces rencards qui resteront dans les annales baronnesques (et vous ne croyez pas si bien lire)
Lui, c'est Freud, un prof de philo, la quarantaine bien tassée.


Jusque là rien de grave, quoi que la Baronne tique un peu sur l'âge, bah oui 42 ans c'est vieux.... enfin comparativement parlant aux autres garçons qu'elle fréquente, c'est même âgé et si on ajoute que la Baronne ne fait pas ses 32 ans nous pourrions dire que cela craint un max....

Enfin si cela était du genre à freiner la curiosité baronnesque nous le saurions...et cette fois encore la Baronne ne va pas vous décevoir, et elle ne va pas être déçue non plus!

Freud habite dans le 17ème, quartier maudit pour le carrosse de la Baronne (que voulez-vous on ne ressort jamais indemne d'un séjour en fourrière), et il faut croire qu'il y a définitivement fâcherie entre ces 2 là quand on voit combien de temps la Baronne va mettre pour se garer...A bout de nerf, elle convoque Freud au pied de son immeuble pour participer aux recherches (il n'y a pas de raison qu'elle soit toute seule à tourner dans le quartier!).

Physiquement première déconvenue, il fait beaucoup plus vieux que sur les photos et son look ne lui rend pas vraiment service, le vintage oui, mais la veste en cuir coupe 80's non!
Coté discussion pas mieux, les premiers échanges sont dignes d'un cours de conduite, et le coté paternaliste de monsieur Freud agace déjà la Baronne...
Et c'est horrible à dire, mais il sent la cocotte... Un de ces parfums entêtant qui vous donne des hauts le cœur...Heureusement pour la Baronne la place tant convoitée est enfin trouvée et l'air frais de nouveau respiré.
Presque remise de ses émotions elle suit son acolyte et pénètre dans son antre...

Et la première impression n'est pas vraiment bonne.
Il vit dans un immense studio aux murs défraichis, bordélique, rempli de livres, d'objets hétéroclites, qui empeste l'encens. Un matelas posé contre un mur, des tapis plein de poils (peut être les siens...et elle ne croit pas si bien dire, la pauvre), bref Beyrouth...

Passé le frisson dans le dos, la Baronne pose une fesse sur le clic-clac aux couleurs délavées (version politiquement correcte), et se voit offrir un verre de rhum (c'est marrant ça ressemble de plus en plus au rencard avec Mister Clubber...pas sur que ce soit une bonne référence d'ailleurs). Et les premières craintes se confirment....
Freud est un analyste, déformation professionnelle, on s'en doutait mais surtout (ou hélas) il a repris des études de psychologie. D'ailleurs le rencard commence à ressembler de plus en plus à une séance chez le psy. Et en Baronnie cela agace, pourquoi? Et bien parce que la psychologie c'est un peu le domaine de prédilection de la Baronne, son métier en quelque sorte, et elle n'a pas besoin d'un nouveau thérapeute, le sien lui suffit amplement.

Freud analyse sans cesse les propos baronnesques, la contre-dit, la teste, la pousse peut être un peu trop loin, et cela devient de plus en plus pénible, elle se sent mal à l'aise et cherche une porte de sortie, mais surtout elle se demande si il va lui facturer la séance.

Lui, au contraire a l'air de plus en plus à l'aise, et il décide d'ôter sa chemisette taille XXL qui était cachée sous le blouson de cuir 80's, oui la chemisette si elle n'est pas cintrée ça craint, mais passons au dessus de l'attentat vestimentaire, et retrouvons la Baronne se demandant si Freud ne va pas tenter la fameuse technique du "naked man".

Pour les moins avertis, la technique du "naked man", consiste à se foutre à poil devant une fille, et d'après les "statistiques" 1 fois sur 3 cela fonctionne (mouais....)

Mais revenons-en à Freud qui, coup de chance porte sous sa chemisette, un joli marcel Eminence (old school...), laissant apparaitre une forêt vierge en plein développement sur son corps, gros bug baronnesque... d'autant qu'il décide de s'assoir à coté d'elle... Elle, qui, dans un réflexe malheureux se décale à l'extrémité du clic-clac aux couleurs douteuses.

Ce mouvement ne sera pas sans conséquence puisque la Baronne va se bloquer un muscle    ( trahie par ses trapèzes... big fail de la soirée...) Freud se propose alors de la masser, la douleur étant intense elle décide de se laisser faire, et la voilà qui se retrouve allongée mais toujours habillée avec Freud assis sur elle....

Et dans sa tête, une alarme sonne d'abord discrètement puis à mesure que les mains de Freud parcourent son dos, de plus en forte, il faut dire qu'après moult négociations elle a fini par accepter de retirer son t-shirt, et que dans la foulée son malaise a décuplé.

Il y a dans ce massage des intentions peu chastes de la part de Freud, son souffle se fait de plus en plus rapide, et ses mains de plus en plus baladeuses et une légère raideur se fait sentir ce qui confirme les doutes de la Baronne.

Alors qu'il descend ses mains vers le creux de ses reins, normal dans un massage du dos direz-vous, il tire d'un coup sec sur la jupe de la Baronne baissant dans le même temps la noble petite culotte.

Moment d'effroi en Baronnie.
La scène va atteindre son paroxysme en une poignée de seconde avec un léchage en règle du SIF baronnesque...

Le SIF, chers lecteurs et lectrices, est le sigle pour le sillon inter-fessier...en gros la raie des fesses...

Horreur et damnation
Ni une, ni deux la Baronne se redresse avec une folle envie de faire une paire de Ray-Ban à Freud.
Mais légèrement sonnée, ne sort qu'un malheureux
" Qu'est ce qui te prend?"
Réponse du lécheur à la Baronne
"Je croyais que tu en avais envie, pourquoi tu n'as pas aimé?"
What the Fuck!!!!!!!!!!!! Ni l'un, ni l'autre monsieur, une fille qui fait tout pour ne pas se faire embrasser n'a certainement pas envie de se faire lécher la raie des fesses!!!!!!!

Visiblement Freud n'a pas l'air d'accord avec la Baronne, et semble penser qu'elle est vraiment coincée du cul (sans mauvais jeu de mot évidement) et commence une énième analyse de la situation. L'analyse de trop pour la Baronne qui sans demander son reste, quitte le 17ème et jure un peu tard qu'on ne l'y reprendra plus!

Sur le trajet retour, jusqu'à la douche salvatrice, elle conclue que Freud applique visiblement le "fonce oublie que t'as aucune chance, sur un léchage de SIF ça peut marcher!"  et se demande quel est le pourcentage de réussite, moins que la technique du naked man elle suppose!

1 commentaire:

  1. OH MY GOD... j'hésite entre me rouler par terre et hurler, mais comment tu fais pour tomber sur les pires loosers de Paris, je l'aurai gifflé moi !!! ??? je décerne une chemisette d'or au gros dégueulasse...
    bisous ma belle, Amandine

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